Hipster Olympics.

Pour ceux qui ne parlent pas anglais: les Olympiades Hipster. Ou Jeux Olympiques de Hipsters.
(Pourquoi ne pas avoir opté pour Hipsterlympics d’ailleurs ?)
Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est un hipster, je ne peux rien faire. Pas ce soir…

Oops. J’ai encore vaguement pris mes lecteurs pour des billes.
(Désobligeante mais polie)

C’est un peu la question récurrente depuis quelques années. « Etre hipster ou ne pas l’être… »
Bien sur, tout un chacun, ou toute personne normalement constituée, répugnera à l’idée d’être un hipster, s’offusquera si vous avez le malheur de le qualifier comme tel, et clamera haut et fort que « non mais t’es sérieuse ? Je suis TROP PAS un hipster, meuf… » avant d’instagramer le ciel à travers les branches de l’arbre à côté duquel vous êtes en train de marcher.

(mais bien sur…)

Berlin a donc, une fois de plus, pris les devants, et a offert une belle catharsis à la génération taraudée par la question ci-dessus mentionnée.
Hipsters qui s’ignorent, hipsters refoulés, hipsters assumés peuvent désormais se réunir le temps d’un week-end, engloutir des litres de bière bon marché, et se livrer à diverses activités telles que:


Se scotcher de fausses barbes sur le visage.


Courir autour d’une platine sans enlever son doigt du vinyl


Faire une course de tote (la course de sac, c’est tellement mainstream…)

Et bien d’autres choses encore (comme gober le plus de bonbons possible dans un verre à bubble tea, entre autres).

Et voilà pour une information qui a eu le don d’illuminer ma soirée.
(Merci à http://www.messynessychic.com)

Plus de détails (en anglais) -> ICI <-